En colère, un Haut-Saônois dénonce le comportement d’un conducteur de voiture radar, qui “a tout fait pour nous pousser à culpabiliser” ; un faux mariage à Belfort qui n’a même pas duré jusqu’à la nuit de noces ; le numéro de téléphone d’un policier tagué sur le mur d’un immeuble… Nous avons sélectionné l’actualité la plus insolite de la semaine en Franche-Comté.

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« La voiture radar faisait tout pour nous pousser à la faute », dénonce un automobiliste haut-saônois


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Hier à 07:00

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Belfort : pour se venger, il tague sur un mur du quartier le numéro de téléphone d’un policier

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“La voiture radar a tout fait pour nous pousser dans la faille”, déplore un automobiliste du Haut-Saônois
Elle dit oui puis s’en va : le mariage blanc à Belfort n’aura même pas duré jusqu’à la nuit de noces
Cette voiture radar a attiré l’ire de l’automobiliste. Photo RD
En colère, un Graylois explique sur Facebook l’expérience qu’il a eue sur la route, vers Dijon. Il dénonce le comportement d’un conducteur de voiture radar, qui “allait à 85 km/h dans des endroits où on ne pouvait pas dépasser et accélérait depuis les pointillés. Sous son message publié sur le réseau social, plus de 600 commentaires, parmi les internautes qui affirment avoir vécu la même chose.
> “Face à ce type de comportement gênant, certains automobilistes vont perdre patience”, prévient le Haut-Saônois.
Il est victime d’un malaise cardiaque en sortant d’une consultation chez son cardiologue à Belfort

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Belfort : Pour se venger, il tague le numéro de téléphone d’un policier sur un mur de quartier
Les étiquettes se trouvaient sur le mur d’un immeuble de la rue de Copenhague à Belfort. Photo ER /Pascal CHEVILLOT
« Rendez-nous nos motos » : Un soldat n’a manifestement pas soutenu la saisie de trottinettes et scooters à Danjoutin effectuée dans le cadre d’une opération anti-rodéo. En représailles, il tague le nom et le numéro de portable d’un policier sur un immeuble du quartier des Résidences de Belfort.
Un trafic romanesque de montres de luxe entre le pays de Montbéliard, la mafia italienne, la Jordanie et la Suisse
> Une enquête est ouverte, et le policier a changé de numéro.
Cette femme de 52 ans, venue du Maroc et résidant illégalement en France, a rencontré son futur mari en juillet 2019 par l’intermédiaire d’une entremetteuse. Deux mois plus tard, les deux se sont mariés à Belfort. Problème, le soir de la cérémonie, la nouvelle épouse ne monte pas dans le lit conjugal et part chez sa sœur à Audincourt. Le mariage ne sera jamais consommé.
> D’autre part, la mariée a demandé de l’argent à son mari pour qu’elle puisse subvenir à ses besoins ou partir en vacances.